Près d'un mois après mon arrivée en terre canadienne, voici les nouvelles "petites choses" que j'ai pu observer et constater sur Vancouver (j'en ai encore d'autres en réserve mais si je mets tout d'un coup, vous n'irez pas au bout de l'article, je vous connais hein):
- Quand tu fais tes courses à Vancouver, tu n'as d'autres choix que
d'acheter ton jus d'orange ou ton lait en bouteille de 2 litres, et tes
oeufs par boîte de 12 (autant dire que tu as intérêt à en manger tous
les jours si tu veux les finir avant la date de péremption).
- Il semble que les vancouverois ne connaissent pas la pâte à tarte toute prête (de type pâte brisée, feuilletée ou autre), ni la crème fraîche, ... mes colocs m'ont dit que c'était introuvable en supermarché.
- En revanche, on peut trouver toute l'année, quelque soit la saison et pour pas très cher : des fraises, des nectarines ou encore du melon (pour une ville soit disant "développement durable", je vous laisse imaginer le bilan carbone).
- A Vancouver, les contrôleurs de bus ressemblent plus à des policiers français qu'à des contrôleurs de la SNCF (et ils ne sont pas commodes !)
- Le skytrain (= le métro) est propre. Pas de papiers par terre, ni de graffiti. Ca change du RER et métro parisien.
- Si les portes du skytrain sont en train de se refermer et que tu passes un bras ou une jambe, les portes se rouvrent automatiquement (pas comme à Paris où les portes du RER te broyent le bras et qu'il te faut l'aide de 2 personnes pour te sortir de là).
- A Vancouver, la sirène des ambulances et voitures de police fait 4 fois plus de bruit qu'en France (j'ai failli perdre une oreille à plusieurs reprises).
- A Vancouver, le temps est tellement incertain que tu ne fais jamais de plan à plus de 2 heures. En revanche, dès qu'il y a une éclaircie, tu dois être prêt à bondir dehors car tu ne sais jamais combien de temps cela va durer, ni si tu reverras le soleil avant la semaine suivante.