Je suis tombée par hasard sur cet article, écrit par un québécois, sur les clichés québécois, et je n'ai pas résisté à l'envie de le partager.
Le québécois « sacre » sans arrêt (en français - "jure" sans arrêt).
Faut plutôt le voir comme de la ponctuation : « Hier tabarnak (virgule) je suis allé voir un criss (oui, ça sert d’adverbe aussi) de bon film coliss (point) ».
Le québécois adore manger cette étrange mixture qu’on
appelle la poutine au Déjeuner/Diner/Souper (ou Petit
déjeuner/Déjeuner/Diner… pour les français non-bilingues!)
La poutine est constituée de trois groupes alimentaires importants : les légumes
(patates), les produits laitiers (fromage), et le brun… la sauce quoi. On
néglige beaucoup l’importance du brun en cuisine… Les anglais, eux, l’ont
compris!
L’uniforme officiel du québécois est constitué d’une tuque (bonnet), d’une ceinture fléchée et de raquettes en babiche.
Croiser un ours au coin d’une rue, ça se prépare !
Au Québec en hiver, il fait - 30°C les jours de beau temps,
- 40°C quand il y a des nuages, - 50°C quand il vente, et il tombe pas moins de 4 mètres de neige, qui mettent ensuite 4 mois à fondre.
On dort donc logiquement dans des igloos. Mais à part ça, ça va.
Les québécois sont des méchants assassins de bébés phoques.
Que de préjugés… On aime aussi tuer les bébés lapins, les poussins, les bébés chiens, les bébés canards et les bébés en général.
Un québécois qui se respecte se doit de passer le début du printemps à se bourrer de sirop d’érable dans une cabane à sucre.
Comprendrez après pourquoi on mange de la poutine… Ça fait descendre les
crêpes, les fèves au lard, les omelettes, les oreilles de crisse (oui,
on sacre même dans la bouffe) et la tire sur la neige.
Le québécois est « peu » cultivé.
Comme un américain, mais en français.
Les québécois sont tous fous de hockey.
La vie s’arrête donc logiquement pendant chaque partie des Canadiens au
centre Bell. De toute façon, c’est ça ou regarder la neige tomber en
écoutant du Charlebois…
Les québécois ont un méchant accent qui sonne bizarrement.
Possible, oui vaguement. Mais par contre, nous, on n’a pas d’accent quand on parle anglais. Et bim !
Les québécois sont tous forcément fans de Céline Dion.
Mais ils prévoient bientôt de fermer le pays et de repartir sous un autre nom pour la perdre définitivement.
(Bonus) Au Québec, on croise des ours et des orignaux en allant faire le marché.
C’est même un castor qui emballe les légumes et un caribou qui tient la caisse. Comme la marmotte et le chocolat en France...
Bref, vous l'aurez compris, les québécois ne se prennent pas non plus au sérieux.
vendredi 26 avril 2013
vendredi 19 avril 2013
Here comes the sun
15 centimètres de neige vendredi dernier....
25°C de température ressentie aujourd'hui. 5°C demain.
Normal.
Ici aussi, la météo semble s'affoler. Au moins 5 ans que les québécois n'avaient pas vu un hiver aussi froid et enneigé. Un vrai hiver à la québécoise !
Le printemps, lui, se fait toujours attendre et a bien du mal à s'installer durablement ... mais il arrive, il arrive !
25°C de température ressentie aujourd'hui. 5°C demain.
Normal.
Ici aussi, la météo semble s'affoler. Au moins 5 ans que les québécois n'avaient pas vu un hiver aussi froid et enneigé. Un vrai hiver à la québécoise !
Le printemps, lui, se fait toujours attendre et a bien du mal à s'installer durablement ... mais il arrive, il arrive !
samedi 13 avril 2013
3 days in Boston - Part. 2
Un "restau" de homard et une bonne nuit de sommeil plus tard, je suis repartie arpenter la ville en compagnie d'Aurélie.
Tout le monde nous avait dit d'aller au Fenway Park, le célèbre terrain de jeu des Red Sox, la grande équipe de base-ball de Boston. Mais le week-end de Pâques a eu raison de nous, car nous avons trouvé porte close en arrivant ! Impossible de rentrer ou même de jeter un rapide coup d'oeil au terrain. Nous avons dû nous contenter du bâtiment et de la "décoration" extérieure.
Pour faire le tour de Boston, rien de mieux que de suivre la Red Line ou Freedom Trail, un parcours qui traverse la ville et permet de voir les plus beaux monuments et les plus beaux coins de Boston.
Du Boston Navy Yard (le grand chantier naval de Boston établi en 1801), au Quincy Market (charmant petit marché d'intérieur), en passant par le Boston Common, un des grands parcs de Boston, nous avons parcouru la ville en long, en large et en travers, s'arrêtant ça et là au gré de nos envies, de nos découvertes... et des boutiques qui se sont trouvées malencontreusement sur notre chemin.
Outre la Red Line, le hasard nous a conduit dans 2 charmants et riches quartiers de Boston : Beacon Hill et le quartier de Back Bay.
Pas de doute, je me serais très bien vue m'installer quelque temps de l'une de ces demeures ou l'un de ces charmants appartements !
Tout le monde nous avait dit d'aller au Fenway Park, le célèbre terrain de jeu des Red Sox, la grande équipe de base-ball de Boston. Mais le week-end de Pâques a eu raison de nous, car nous avons trouvé porte close en arrivant ! Impossible de rentrer ou même de jeter un rapide coup d'oeil au terrain. Nous avons dû nous contenter du bâtiment et de la "décoration" extérieure.
Du Boston Navy Yard (le grand chantier naval de Boston établi en 1801), au Quincy Market (charmant petit marché d'intérieur), en passant par le Boston Common, un des grands parcs de Boston, nous avons parcouru la ville en long, en large et en travers, s'arrêtant ça et là au gré de nos envies, de nos découvertes... et des boutiques qui se sont trouvées malencontreusement sur notre chemin.
Outre la Red Line, le hasard nous a conduit dans 2 charmants et riches quartiers de Boston : Beacon Hill et le quartier de Back Bay.
Pas de doute, je me serais très bien vue m'installer quelque temps de l'une de ces demeures ou l'un de ces charmants appartements !
Bref, je ne vous cacherais pas que j'ai craqué pour Boston... un de mes gros coups de coeur nord américain !
samedi 6 avril 2013
3 days in Boston - Part. 1
Le week-end de Pâques... , un week-end bien attendu ! Car ici, les jours fériés se comptent sur le bout des doigts, alors quand un week-end de 3 jours pointe le bout de son nez, autant en profiter pour mettre les voiles et partir découvrir de nouvelles contrées.
Me voilà donc partie pour Boston, à 7h de route de Montréal. Après une nuit de demi-sommeil plutôt agité dans le bus, nous sommes arrivées avec Aurélie, une amie française, en plein coeur de la ville.
On m'avait dit beaucoup de bonnes choses de Boston alors bien sûr, j'avais peur d'être déçue. Mais à peine arrivée, j'ai été immédiatement transporté par le charme de cette ville et de ses bâtiments aux briques rouges. Je m'attendais à retrouver l'agitation new-yorkaise... Il n'en fut rien. C'était beau, charmant, presque calme !
Logée au coeur de la petite Italie, j'ai découvert un quartier paisible et charmant, qui regorge de pâtisseries et restaurants italiens et où il n'est pas rare d'entendre un petit accent chantant à chaque coin de rue.
C'est par la visite d'Harvard, la célèbre université, que nous avons commencé notre séjour. Un lieu superbe qui donnerait presque envie de retrouver les bancs de l'université.
Et avec un soleil pareil, rien de mieux qu'une bonne cure de vitamine D sur les pelouses du campus.
Charmées par les lieux et la météo, nous avons décidé de rentrer à pied d'Harvard mais c'était sans compter sur notre misérable carte et notre grand sens de l'orientation. Nous avons marché, marché, marché... au point d'en avoir mal aux pieds. Heureusement, la vue valait bien un petit (ou plutôt grand) détour.
Me voilà donc partie pour Boston, à 7h de route de Montréal. Après une nuit de demi-sommeil plutôt agité dans le bus, nous sommes arrivées avec Aurélie, une amie française, en plein coeur de la ville.
On m'avait dit beaucoup de bonnes choses de Boston alors bien sûr, j'avais peur d'être déçue. Mais à peine arrivée, j'ai été immédiatement transporté par le charme de cette ville et de ses bâtiments aux briques rouges. Je m'attendais à retrouver l'agitation new-yorkaise... Il n'en fut rien. C'était beau, charmant, presque calme !
Logée au coeur de la petite Italie, j'ai découvert un quartier paisible et charmant, qui regorge de pâtisseries et restaurants italiens et où il n'est pas rare d'entendre un petit accent chantant à chaque coin de rue.
C'est par la visite d'Harvard, la célèbre université, que nous avons commencé notre séjour. Un lieu superbe qui donnerait presque envie de retrouver les bancs de l'université.
Et avec un soleil pareil, rien de mieux qu'une bonne cure de vitamine D sur les pelouses du campus.
Charmées par les lieux et la météo, nous avons décidé de rentrer à pied d'Harvard mais c'était sans compter sur notre misérable carte et notre grand sens de l'orientation. Nous avons marché, marché, marché... au point d'en avoir mal aux pieds. Heureusement, la vue valait bien un petit (ou plutôt grand) détour.
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